Plante adaptogène, la Rhodiola rosea s’utilise surtout pour tonifier l’organisme et lui offrir la capacité à résister aux effets du stress. Revêt-elle d’autres propriétés médicinales ? Qui en sont responsables ? Comment choisir sa rhodiole en gélules ? À découvrir dans cet article les bienfaits médicinaux de cette plante, d’après les chercheurs. Les informations qui y sont détaillées ne représentent pas un avis médical.
Célèbre depuis la nuit des temps pour ses propriétés tonifiante et équilibrante, la rhodiola rosea – ordinairement appelée rhodiole – fut utilisée autrefois par les Vikings pour raviver leur force et courage. Il suffit à l’époque d’infuser les rhizomes de cette plante pour faire une boisson aux vertus revigorantes et fortifiantes leur permettant d’avoir une force physique et mentale hors du commun ; tout ce dont ils ont besoin pour mener à bien leurs entreprises. Malgré le fait que les véritables mécanismes neurochimiques de cette médication naturelle ne soient pas encore clairement élucidés, nombreux sont les scientifiques qui ont prouvé ces qualités. À découvrir dans les lignes qui suivent les particularités et propriétés médicinales de cette plante, d’après la science.
Sommaire
Présentation de la rhodiola rosea
Description botanique
Appartenant à la famille des Crassulacées, la rhodiola rosea répond sous diverses appellations comme orpin rose de Sibérie, racine d’or, ou encore ginseng de la toundra. Sa désignation habituelle rhodiole, est tirée du terme grec rhodios, qui signifique « rose », du fait de l’agréable odeur que dégagent ses racines rappelant le parfum d’une fleur de rosier. Cette plante vivace trouve refuge dans les régions montagneuses – à une altitude de plus de 3 000 m – et les zones septentrionales froides du globe, en Arctique, Russie, Scandinavie, et dans les Alpes.
La rhodiole est une petite plante, dont la taille avoisine les 50-70 cm de haut. Sa tige s’étale sur moins de 20 cm. Par contre, ses racines occupent une très grande partie de sa structure et d’ailleurs, c’est le seul organe de la plante utilisé en phytothérapie. Ses petites feuilles allongées et charnues sont aussi comestibles, mais ne revêtent pas toutefois de propriétés médicales. Les inuits d’Alaska les consomment à la manière des légumes.
Ses principes actifs
Les composants actifs de la rhodiole se concentrent surtout au niveau de ses rhizomes. Voici une liste des principales molécules à l’origine de ses propriétés médicales :
– Groupes phénoliques : La rhodiole doit surtout son pouvoir thérapeutique à ses nombreux polyphénols, à savoir les rosavines, rosines, rosarines, tyrosols, rosiridines, salidrosides et rhodiolosides. Certains d’entre eux sont moins actifs que d’autres lorsqu’ils sont utilisés seuls, mais montrent cependant une meilleure efficacité lorsqu’ils sont combinés (1). Les polyphénols, rappelons-le, sont des composés organiques largement présents dans les plantes, dotés d’action antioxydante. La rosavine, à titre d’exemple, possède un pouvoir adaptogène, c’est-à-dire a la faculté d’augmenter la capacité de l’organisme à s’habituer au stress. Les expériences menées sur ce dérivé de phénylpropane ont démontré qu’il peut agir sur les hormones de stress, dont le cortisol et l’adrénaline, en diminuant leur synthèse, tout en augmentant le métabolisme énergétique au sein des mitochondries. (2)
– Proanthocyanidines : Ce sont des tanins condensés, ou des polymères de flavanols, qui sont aussi très répandus dans le règne végétal. Ces molécules confèrent à la rhodiole le pouvoir de piéger les radicaux libres dans l’organisme.
– Quercétine : Les rhizomes de cette plante contiennent aussi une certaine quantité de quercétine ou quercétol, qui est un flavonoïde à effets antioxydant et anti-inflammatoire.
– Acide gallique : C’est un acide phénolique très répandu aussi dans les végétaux. Ce composé chimique présente à la fois des activités antioxydante, en prévenant la peroxydation lipidique, et pro-oxydante lorsque son équilibre est rompu.
– Acide chlorogénique : C’est un ester de l’acide caféique que l’on rencontre aussi dans le café, connu pour son activité antioxydante appréciable.
– Kaempférol : Ce flavonoïde est disponible à une teneur non négligeable dans les racines de la rhodiole. Celui-ci est reconnu scientifiquement pour ses actions antioxydante et anti-hémolytique, en jouant un rôle protecteur lors de l’hémolyse de globules rouges (désagrégation naturelle et normale de ces globules rouges pour libérer l’hémoglobine).
– Monoterpènes : Ce sont des terpènes, des composants importants dans la fabrication d’essences végétales, à l’instar des huiles essentiels.
– Flavonoïdes et tanins : Ces composés sont tous deux responsables de la coloration de ce végétal. Ils possèdent aussi des propriétés antioxydantes et sont connus pour leur aptitude à protéger le système cardiovasculaire, à des doses modérées.
– Alcool cinnamique : C’est un des constituants naturels des essences végétales, apprécié pour son agréable fragrance.
– Acide chlorogénique : Cette molécule antioxydante, disponible en grande quantité dans les graines du caféier et à une teneur plus réduite dans les rhizomes de la rhodiole, peut aider à prévenir les effets néfastes de l’obésité.
Quels sont les bienfaits santé de la rhodiola rosea ?
Est-ce vraiment un antidépresseur ?
La rhodiola rosea figure parmi les plantes adaptogènes les plus utilisées en médecine traditionnelle européenne. Dans les pays Scandinaves où le climat Sibérien est très rude, son utilisation est très courante. Des infusions de ses racines permettent de combattre l’effet stressant du temps grisâtre. Cette qualité adaptogène a été mise en évidence par un grand nombre de chercheurs.
L’une des publications ayant parlé de cette propriété est celle-ci. L’expérience a été menée sur des rats de laboratoires soumis à un stress aigu, ayant des problèmes de comportement et de troubles nerveux. Pendant 6 semaines, ces sujets ont reçu des extraits hydro-alcooliques de rhodiole, standardisés à 3 % de rosavines et 1 % de salidrosides. Les doses utilisées étaient variées pour chaque groupe, 10, 15 et 30 mg/kg. Un autre groupe témoin a pris à la place de cet antidépresseur naturel, de la fluoxétine, une substance fréquemment prescrite pour son action inhibitrice de la recapture de la sérotonine.
Il a été constaté à la fin du traitement grâce aux différents contrôles que les extraits de rhodiola rosea ont pu inverser les effets du stress aigu, tout comme la fluoxétine. Les symptômes des rats soumis aux doses plus élevées de cette médication naturelle se sont améliorés considérablement, que ce soit la perte de poids, la difficulté d’endormissement, les épisodes dépressifs, les troubles nerveux et comportementaux (3). D’autres études plus approfondies chez l’homme restent quand même nécessaires pour prouver cet effet antidépresseur. La plupart des expériences ont été en effet réalisées sur des modèles animaux, insuffisantes pour valider l’efficacité de ces principes actifs chez l’homme.
Cette plante est-elle une tonique de l’organisme ?
Une des propriétés médicinales de la rhodiole célèbres depuis des siècles est son effet énergisant. C’est toujours grâce à son caractère adaptogène que cette plante puisse revigorer l’organisme épuisé physiquement et ou mentalement. Pour les sportifs et ceux qui font des activités physiques intenses, c’est l’allié idéal pour récupérer rapidement lorsqu’ils sont épuisés. Certains scientifiques ont essayé d’évaluer son effet fortifiant.
Dans cette expérience par exemple, son action tonique a été comparée à celles du Schizandra chinensis (ou graine aux cinq saveurs) et de l’Eleutherococcus senticosus (ou ginseng de Sibérie). Les extraits de ces plantes ont été administrés à une dose unique chez les sujets expérimentés. Les résultats ont montré que ces produits naturels ont été tous les trois capables d’augmenter les performances physiques et mentales des patients, sans causer des effets secondaires comme la plupart des stimulants traditionnels.
Les extraits de rhodiole ont été, cependant, les plus actifs. Leur action a été notée seulement 30 minutes après l’ingestion et a duré au moins pendant 4 à 6 heures. Les principes actifs responsables de cet effet fortifiant sont notamment les composés phénoliques de la plante, à savoir les rosavines et les salidrosides. (4)
Une autre publication a même mentionné la faculté de cette plante à limiter la biosynthèse d’oxyde nitrique (NO) en cas de stress, un composé chimique à effet oxydant, et à augmenter la production d’énergie (ATP) au niveau des mitochondries. (5)
Les résultats de ces études sont intéressants, mais ne suffisent malheureusement pas pour conclure sur l’efficacité de cette plante à tonifier l’organisme. Cet effet doit être encore vérifié dans d’autres essais cliniques à plus grande échelle avant de pouvoir le confirmer
Serait-elle un protecteur des neurones ?
Certaines revues scientifiques ont souligné l’effet de la rhodiole sur les neurones. Cette plante médicinale, d’après les auteurs, constituerait un remède préventif contre les maladies neurodégénératives à l’instar de la maladie d’Alzheimer grâce à son action neuroprotectrice.
Au cours de cette expérience, des groupes de rats de laboratoires ont reçu des doses différentes d’extraits de cette plante pendant 3 semaines, dont 1,5, 3 et 6 g/kg. Au cours du traitement, ces rongeurs ont reçu 2 fois par injection intracérébroventriculaire 1,5 mg/kg de streptozotocine. Ce composé chimique est connu pour entrainer un important stress oxydatif au sein de l’organisme, conduisant à une augmentation du taux de malondialdéhyde et d’autres espèces réactives de l’oxygène qui endommagent les neurones.
Cependant, les résultats de l’expérience ont nettement montré que les lésions neuronales ont été très faibles chez les rats qui ont administré une dose importante d’extraits de rhodiole. Les principes actifs de la rhodiole, notamment ses composés phénoliques, ont pu protéger les tissus des effets néfastes des espèces chimiques oxygénées issues du stress oxydatif (6). Malheureusement à ce jour, il n’existe encore aucune étude menée sur l’homme à ce sujet. Cette action neuroprotectrice doit être encore mise en évidence chez des modèles humains avant de pouvoir la valider.
Possède-t-elle un effet hypoglycémiant ?
Récemment, certaines revues scientifiques ont parlé de la capacité de la rhodiole à stimuler la β-endorphine, un neurotransmetteur qui agit sur les récepteurs opiacées se trouvant dans la moelle épinière, le cerveau et le système digestif, et baisser la pression artérielle. En se basant sur cette hypothèse, d’autres chercheurs l’ont utilisé chez des rats diabétiques pour voir son effet. Ces animaux ont reçu une certaine dose d’extraits de cette plante pendant 3 jours.
Les analyses de sang et l’ablation des glandes surrénales pour doser les niveaux de glycémie et de la β-endorphine ont révélé une baisse du taux de sucre sanguin et une activation des récepteurs opioïdes grâce à l’augmentation de la sécrétion de β-endorphine. Les extraits de la rhodiola rosea a eu une action similaire aux opiacées, des substances utilisées en médecine pour son action analgésique. On les retrouve aussi dans certains médicaments destinés à traiter l’hyperglycémie. L’efficacité de la rhodiole a, cependant, varié en fonction des doses employées. (7)
Les quelques essais cliniques menés sur des modèles animaux ne permettent pas de confirmer la réelle efficacité de ce produit chez l’homme. Il faut d’autres études plus approfondies sur des humains avant de confirmer cet effet hypoglycémiant.
S’agit-il d’un anti-inflammatoire ?
La rhodiole possèderait aussi une propriété anti-inflammatoire, d’après certains chercheurs qui l’ont étudié. Des extraits de cette plante ont été utilisés chez 3 modèles de rat, dont le premier présentait un œdème au niveau de la patte induit par du carraghénane, le second souffrant d’arthrite dû à une certaine dose de formaldéhyde, et le troisième une grosseur sur la patte causée par de la nystatine. Ces trois composés utilisés sont connus pour leur toxicité et leur effet cancérigène à forte dose.
À un dosage de 250 mg/kg, des extraits de rhodiole ont pu réduire les gonflements et l’inflammation causés par ces composés organiques et chimiques. Son effet anti-inflammatoire a été évalué grâce à l’activité des cyclo-oxygénases COX-1 et COX-2, et de la phospholipase A2. La rhodiole aurait inhibé l’action de ces enzymes, à la manière des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Rappelons juste au passage que l’activité de ces enzymes est déclenchée par les facteurs pro-inflammatoires de l’organisme, comme les cytokines par exemple. (8)
Ces quelques observations cliniques conduites sur des rongeurs ne sont pas toutefois suffisantes pour conclure sur l’efficacité de cette plante contre les troubles articulaires. Son effet anti-inflammatoire doit être vérifié dans d’autres études sur des modèles humains.
Cette plante a-t-elle un effet immunostimulant ?
L’usage de la rhodiola rosea en tant qu’immunostimulant date de plusieurs siècles avant notre ère. Des anciennes civilisations, telles que les Indiens d’Amérique du Nord par exemple, utilisèrent ses racines en décoction pour augmenter les défenses immunitaires et guérir une panoplie de maladies.
Quelques scientifiques l’ont confirmé, par exemple les auteurs de cette étude menée sur un échantillon de porcs. L’administration d’extraits de rhodiola rosea et de rhodiola quadrifida – les deux espèces de rhodiole les plus employées – chez ces animaux a conduit à la prolifération des lymphocytes T. (9) Ces cellules, appelées aussi cellules T ou thymus, sont garantes de l’immunité cellulaire en cas d’infection de virus ou d’autres corps étrangers dangereux pour les cellules.
Au cours d’une autre expérience, des extraits hydro-alcooliques de cette plante standardisés à 50 % administrés chez des rats auraient entrainé une amélioration de la phagocytose (10). C’est aussi un élément essentiel de l’immunité, car il s’agit du processus naturel par lequel la cellule englobe et digère les corps étrangers qu’elle rencontre dans son milieu.
Ces quelques observations cliniques menées sur des modèles animaux ne nous permettent pas de confirmer cet effet immunostimulant pour le moment. Il faut d’autres études plus approfondies sur l’homme avant de conclure sur quoi que ce soit.
La rhodiole est-elle dotée d’un effet anticancéreux ?
Certains auteurs ont aussi rapporté dans leurs revues scientifiques l’activité anti-tumorale de la rhodiole. Dans l’étude suivante, à titre d’exemple, des extraits hydro-alcooliques de racines de rhodiola quadrifida et de salidrosides tirés de rhodiola rosea ont été administrés par voie orale chez des groupes de souris, dont la peau présentait une greffe de sarcome. C’est une tumeur ayant la consistance de la chair, et qui croît au dépens des tissus.
Pendant 72 heures, les souris ont reçu soit 40, 200, 400 µg d’extraits de rhodiola quadrifida toutes les 24 heures ; ou bien 0,5, 1 et 2 µg de salidrosides. Les analyses des tissus et des vaisseaux sanguins réalisées au microscope après les traitements ont montré que toutes les doses utilisées ont pu empêcher la formation de nouveaux vaisseaux sanguins et la prolifération des cellules malignes. Les doses de salidrosides de rhodiola rosea ont été néanmoins plus efficaces. (11)
Par manque d’études cliniques sur l’homme, il est encore trop tôt pour confirmer cette propriété médicinale. Nous ne pouvons pas valider l’efficacité de ces extraits de rhodiola rosea dans le traitement des cancers sans preuves supplémentaires.
Rhodiola rosea bio
Il ne faut pas se tromper, ce ne sont pas les extraits de rhodiola rosea qui sont qualifiés de bio, mais la plante à partir de laquelle on a tiré les principes actifs. Les techniques d’extraction classiques, utilisant l’eau et l’alcool, sont souvent adoptées pour ce faire. On peut toutefois parler de la poudre de rhodiole bio, mais qui présente une faible efficacité. Ces méthodes de culture n’utilisent ni pesticides ni produits chimiques.
Pour profiter de toutes les qualités de cette plante, il faut se tourner vers les compléments alimentaires qui proposent un titrage élevé en salidrosides et rosavines, ses principaux composants actifs.
Rhodiola rosea : Quel est le dosage efficace ?
Les doses de rhodiole à prendre par jour varient de 300 à 600 mg, soit l’équivalent de 1 à 2 gélules. La durée de traitement est limitée à14 jours. Les meilleurs moments de la journée pour prendre ce supplément alimentaire sont le matin et le midi, avant les repas. Il n’est pas indiqué de le prendre le soir car peut perturber la qualité du sommeil.
Pour ceux qui pratiquent des activités physiques intenses, font des efforts en altitude ou sont fatigués mentalement, il est possible d’augmenter les doses à 900 mg par jour, soit 3 gélules de 300 mg (12). Les seuls effets secondaires rapportés par les observateurs sont les céphalées et troubles de l’endormissement.
Ce complément alimentaire est déconseillé aux femmes enceintes et allaitantes, aux enfants et sujets ayant des problèmes d’allergie aux composants de la rhodiole. Pensez toujours à prendre l’avis de votre thérapeute ou médecin avant de débuter une cure à base de ce produit. Seul votre médecin est apte à vous prescrire le dosage adéquat. Une surveillance médicale est de mise tout au long des traitements.
Références
(1) Panossian A et al. « Étude comparative des préparations de Rhodiola sur le désespoir comportemental chez le rat », Phytomedicine, vol. 15, n ° 1 et 2, 2008, p. 84–91.
(2) L. I. Andreeva et al. « Évaluation des propriétés adaptogènes de l’extrait de Rhodiola rosea dans des cultures de cellules mononucléées humaines et des tissus de rat », Eksperimental’naia I Klinicheskaia Farmakologiia, vol. 76, no 2, 2013, p. 23-27.
(3) Mattioli L et al. « Effets de l’extrait de Rhodiola rosea L. sur le comportement et les altérations physiologiques induites par un stress modéré chronique chez la rate ». J, Psychopharmacol 2009 Mars; 23 (2): 130-42.
(4) Panossian A et al. «Efficacité des adaptogènes en fatigue basée sur des preuves et mécanismes moléculaires liés à leur activité protectrice contre le stress» Curr Clim Pharmacol, Septembre 2007; 4 (3): 198-219.
(5) Wagner H et al. « Effet stimulant des adaptogènes: aperçu général de leur efficacité après administration d’une dose unique ». Phytother Res, octobre 2005; 19 (10): 819-38.
(6) Zez-Qiang Qu et al. « Le prétraitement avec l’extrait de Rhosiola rosea réduit les troubles cognitifs induits par la streptozotocine intracérébroventriculaire chez le rat: implication d’effets anti-oxydants et neuroprotecteurs ». Sciences biomédicales et environnementales 22, 318-326, 2009.
(7) Chiang-Shan Niu et al. « Action antihyperglycémique de l’extrait aqueux de rhodiola chez le rat diabétique de type 1 ». BMC Médecine complémentaire et alternative, ISCMR, 2014 14:20
(8) Khanum F et al. « Activité anti-inflammatoire de la rhodiola rosea – Un adaptogène de deuxième génération ». Phytother Res, août 2009, 23 (8); 1099-102.
(9) Skopinska-Rozewska E et al. « Effet in vivo, dépendant de la dose, de rhodiola et d’échinacée sur la prolifération de lymphocytes induite par les mitogènes chez la souris ». Pol J Vet Sci, 2011; 14 (2): 265-72.
(10) Skopinska-Rozewska E et al. « L’effet des extraits de rhodiola quadrifida sur l’immunité cellulaire chez la souris et le rat ». Pol J Vet Sci, 2008; 11 (2): 105-11.
(11) Skopinska-Rozewska E et al. « Influence de l’extrait hydroalcoolique à 50% de rhodiola quadrifida et du salidroside sur l’angiogenèse induite par la tumeur chez la souris ». Pol J Vet Sci, 2008; 11 (2): 97-104.
(12) Sana Ishaque et al. « Rhodiola rosea pour la fatigue physique et mentale: revue systématique ». BMC Compl and Alt Medicine, mai 2012; 12: 70.