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Curcuma longa

Connus surtout pour leur effet exhausteur de goût, les rhizomes du Curcuma longa seraient aussi d’excellents remèdes naturels qui ont le pouvoir de soigner diverses affections. D’après les recherches scientifiques, quelles sont les propriétés médicinales de cette plante? Quels sont les éventuels dangers du curcuma ? Comment bénéficier de ses bienfaits ? Comment en consommer en complément d’alimentation ? Ce billet vous est donné à titre purement informatif et ne peut remplacer en rien un avis médical.

Curcuma poudre

Le curcuma longa, curcuma ou encore safran des Indes, figure parmi les médications naturelles les plus anciennes au monde. En effet, on utilise le rhizome de cette plante vivace depuis des milliers d’années dans la médecine traditionnelle chinoise et ayurvédique. Rapidement, en Chine (son pays d’origine), ses tubercules furent séchés et réduits en poudre afin d’être utilisés pour apaiser les douleurs et traiter la congestion sanguine.

En médecine traditionnelle indienne, l’herbacée a tout de suite été appréciée pour ses vertus anti-inflammatoires et antioxydantes. On peut même l’apercevoir dans l’Atharva-Véda – un texte sacré de l’hindouisme – aux environs du IVe siècle. Il y est désigné comme étant un « Hrudroga », c’est-à-dire un remède utile dans le traitement des troubles cardiaques. On l’utilisait à l’époque en massage à sec sur le malade (1).

En Occident en revanche, ses bienfaits ne seront reconnus qu’au début du XVIIe siècle. Aujourd’hui, que disent les scientifiques à propos de cette plante? Voici dans cet article une explication détaillée sur le curcuma longa et ses véritables bénéfices pour la santé.

Présentation du curcuma longa

Description botanique

Le curcuma est une plante herbacée vivace appartenant à la famille des Zingiberacées. On le reconnaît surtout par ses rhizomes aromatiques à la couleur de l’or jaune, qui émettent tous les ans des tubercules et tiges aériennes.

Le curcuma longa appartient à la famille des Zingiberacées, comme le gingembre et la cardamome
Le curcuma longa appartient à la famille des Zingibéracées, comme le gingembre et la cardamome

Le plant de curcuma se dresse sur une hauteur de 60 à 100 cm de haut. Ses grandes feuilles alternées oblongues sont disposées sur deux rangées, et peuvent s’étaler jusqu’à 50 cm de long et 25 cm de large. Elle porte également un épi de 20 cm de haut, au sommet duquel se placent des bractées de couleur blanche à vert clair (parfois teintées de pourpre sur les pointes). Ses petites fleurs hermaphrodites sont zygomorphes – autrement dit dotées d’une symétrie bilatérale – et stériles. Le bouturage des rhizomes est le seul mode de reproduction et de multiplication de ce végétal.

Le curcuma longa, aussi appelé turmeric en anglais, affectionne les zones fortement ensoleillées et les sols fertiles du globe. Ses lieux de concentration sont l’Extrême-Orient (Malaisie et Inde), l’Asie du Sud et du Sud-Est.

Son utilisation en cuisine

Le curcuma, en plus de son usage en phytothérapie, s’utilise également en cuisine. Grâce à son goût poivré, on s’en sert d’épice pour rehausser les plats. On peut également l’associer à du citron, du poivre noir ou du miel.

C’est aussi un excellent conservateur d’aliments. Les Indiens l’utilisaient autrefois pour protéger leurs nourritures de l’invasion de bactéries et supprimer l’oxydation des graisses.

Ses composants actifs

Le curcuma doit ses pouvoirs thérapeutiques aux nombreux composants actifs qu’il contient. Les teneurs de ces substances varient cependant ; elles sont plus ou moins importantes en fonction du cultivar. Il existe, en effet, plusieurs variétés, dont le Roma et le Suroma sont les plus riches en curcuminoïdes.

Dans la poudre de curcuma, on retrouve les composés actifs suivants :

– Les curcuminoïdes :

Ce sont les principaux principes actifs de cette plante médicinale. Ils sont notamment responsables de la coloration jaune à orange de ses rhizomes. Leur taux de concentration varie entre 1 et 9 % par rapport au poids total du cultivar. Parmi ces curcuminoïdes, on cite le deméthoxycurcumine, le cyclocurcumine, la dihydrocurcumine, le bisdeméthoxycurcumine, et la curcumine qui est la plus connue. Ce pigment polyphénolique est la principale source du pouvoir thérapeutique du curcuma.

Les nombreuses expérimentations scientifiques menées sur cette molécule ont mis en évidence ses propriétés antioxydantes, anticancéreuses, protectrices cardiaques, hypoglycémiantes, et anti-inflammatoires.

– Les sesquiterpènes :

Ce sont des terpènes (composants majeurs de la résine appartenant à la classe d’hydrocarbures) avec trois unités d’isopréniques. Ce sont les principaux composants des huiles essentielles. Parmi ces molécules, il y a entre autres le caryophyllène qui confère au curcuma sa nature épicée, le bisacurone qui revêt un caractère anti-inflammatoire, le bisabolène qui possède des qualités édulcorantes et le curcuménone qui agit comme un antioxydant. (2)

– Les monoterpènes :

Ce sont des terpènes avec deux unités d’isoprènes. Ce sont aussi les composants principaux des essences végétales. Parmi ces éléments chimiques on retrouve le terpinène, la cinéole et le camphène.

– Les stéroïdes :

Ce sont des groupes de lipides. Parmi les stéroïdes présents dans le curcuma on trouve : le cholestérol qui intervient dans de nombreux processus biologiques et le stigmastérol qui un phytostérol souvent rencontré dans les huiles végétales de cuisson. Mais aussi le campestérol, un stérol avec une structure chimique proche de celle du cholestérol. Celui-ci est d’ailleurs doté d’une action anti-inflammatoire. (3)

– Les carbohydrates :

Ce sont les glucides ou encore les hydrates de carbone, qui sont essentiels à la nutrition et à la fabrication d’énergie. Une portion de curcuma comprend 60 à 70 % de ces glucides.

– Les alcaloïdes :

Le curcuma longa en poudre regorge également de divers alcaloïdes aux bienfaits thérapeutiques multiples, tels qu’analgésique, hypnotique, anticancéreux… Les molécules d’alcaloïdes ne sont autres que des dérivés d’acides aminés, avec des bases azotées dans leurs structures chimiques. Leur nom se termine toujours par « –ine ».

– De l’huile essentielle :

On trouve également de l’huile essentielle à hauteur de 3 à 7 % dans les rhizomes du curcuma. Chaque portion d’huile essentielle extraite de ces racines contient des substances actives puissantes. Notamment, du bornéol à action hépatoprotectrice, des gingibérènes à effet antiulcéreux, ou encore du turmérone à la propriété antidépressive. (4)

Les Turmerosaccharides :

Des composés hydrosolubles du curcuma ayant aussi une activité anti-inflammatoire très intéressante. Pour plus d’informations, voici l’article dédié à ce sujet : Turmerosaccharides

Quelles sont les propriétés médicinales du curcuma selon la science ?

Nombreuses sont les propriétés médicinales du curcuma, les voici dans la suite de cet article. Les expériences ci-après sont réalisées sur le curcuma, et non sur son principe actif, la curcumine. Il convient de le souligner, car nombreux sont les articles en ligne qui parlent de ce végétal alors qu’ils mettent en avant les bienfaits thérapeutiques de son composant. Les patients qui veulent essayer le curcuma dans leur traitement sont souvent déçus par la suite, car leur produit (bien qu’il soit de qualité), n’a pas pu les soigner correctement. Les vertus de cette épice jaune sont totalement différentes de celles de son principe actif, du fait de la présence d’autres substances actives dans sa composition.

Un effet protecteur du foie ?

Le curcuma agit comme un protecteur du foie, en cas de stéatose hépatique
Le curcuma agirait comme un protecteur du foie en cas de stéatose hépatique

De nombreuses études, dont la plupart menées sur des animaux de laboratoire, ont mis en avant l’effet hépatoprotecteur du curcuma longa en poudre. Des enquêtes ont également été réalisées. Les personnes qui ont l’habitude d’ajouter cette épice dans leurs repas, tous les jours, sont moins sujettes aux problèmes de foie. En se basant sur cette hypothèse, des scientifiques se sont alors mis à étudier l’effet de cette plante médicinale sur cet organe.

Voici l’un des essais cliniques les plus notables :

Il s’agit d’une expérience randomisée en double aveugle avec contrôle placebo menée sur 60 sujets âgés de plus de 20 ans, entre les années 2010 et 2012, à l’hôpital universitaire national de Chonbuk de Corée du Sud. Les individus testés présentaient des taux d’ALAT (Alanine Aminotransférase) modérés à élevés, compris entre 40 UI/L et 200 UI/L. Ils ont été départagés en deux groupes, au hasard. Pendant 12 semaines, ces sujets ont reçu par voie orale deux capsules de curcuma fermenté en poudre ou alors des placebos, avant les 3 principaux repas. Au total, ils ont reçu une dose journalière de 3 g de curcuma.

Les résultats des contrôles réalisés pendant et après le traitement ont montré une diminution significative des taux d’ALAT des patients. Notons que le dosage de cette enzyme présente dans les cellules hépatiques permet d’identifier une maladie de cet organe et de suivre son évolution. Les taux d’ASAT (Aspartate Aminotransférase, l’enzyme concentrée au niveau du myocarde) et de GGT (Gamma Glutamyl Transferase, enzyme en provenance de nombreux organes dont le niveau permet de détecter des problèmes hépatobiliaires) ont aussi baissé. Aucun changement n’a été constaté sur le niveau sérique de bilirubine et sur le profil lipidique.

L’utilisation du curcuma longa en poudre dans le traitement des maladies hépatiques serait efficace et sûre selon les observateurs. Pour le moment, il n’est pas encore possible toutefois de confirmer cet effet hépatoprotecteur par manque de preuves scientifiques plus solides et fiables. Les expériences menées sur des modèles animaux ne sont pas suffisantes pour conclure sur quoi que ce soit.

Une efficacité contre la cirrhose ?

Le curcuma limite la progression de la cirrhose
Le curcuma limiterait la progression de la cirrhose

Se basant sur le fait que le curcuma est un protecteur du foie, des chercheurs se sont mis à étudier son effet sur cet organe en cas de cirrhose. Dans cet essai clinique, des extraits éthanoliques de ses rhizomes ont été utilisés pendant 8 semaines chez des rats souffrant de cirrhose de foie, induit par une certaine dose de thioacétamide. C’est un composé organosulfuré, se trouvant dans la classe 2B de la liste des produits cancérigènes. L’administration de cette substance a entraîné un stress oxydatif, constaté grâce à la hausse des taux de malondialdéhyde, de nitrotyrosine et d’hydroxyguarosine. On détecte ces composés chimiques dans les tissus, lors d’un stress oxydatif.

À la fin du traitement, on a constaté lors des différentes analyses que l’utilisation des extraits de curcuma avait permis de limiter la progression de la cirrhose. Ceci en protégeant d’une part les hépatocytes et d’autre part en inhibant l’activité des radicaux libres issus du stress oxydant. Ce sont ces espèces chimiques qui sont les premières responsables de l’apoptose des cellules et de la dégradation des tissus. Les chercheurs ont également remarqué que le curcuma avait agi sur les médiateurs inflammatoires (libérés par les cellules immunitaires protégeant le foie), en inhibant leur activité. (6)

Les quelques essais cliniques menés sur des modèles animaux ne permettent pas toutefois de confirmer la réelle efficacité de ce produit chez l’homme. Il faut des expériences plus approfondies sur des humains afin de vérifier cette capacité à traiter la cirrhose.

Possède-t-elle une activité anticancéreuse ?

Des publications ont également mis en avant la propriété anticancéreuse du curcuma longa. Les extraits de ses rhizomes, contenant des teneurs élevées en curcuminoïdes et terpènes, ont été utilisés dans une expérience – in vivo chez des souris femelles développant des lymphomes ovariens, et in vitro sur des cellules ovariennes cancéreuses mises en culture. Pour information, les lymphomes ovariens sont une forme rare de cancer ovarien qui touche surtout les femmes de la quarantaine. Ce cancer se traduit par une augmentation anormale du volume de l’ovaire et des douleurs associées. On le confond souvent avec une tumeur épithéliale (concernant la membrane) de l’ovaire.

À une dose de 0,4 mg/ml, ces extraits de curcuma longa ont pu inhiber la prolifération des cellules cancéreuses en culture, en encourageant leur apoptose. L’effet cytotoxique a été remarqué 30 minutes après l’ajout de ces principes actifs sur les cellules, incubées à une température de 30°C. Le même effet a été constaté chez les souris qui ont reçu ces molécules par voie orale. Les observateurs ont comparé l’efficacité des extraits du curcuma longa et celle de la curcumine. En conclusion : le curcuma, comme son principe actif la curcumine, possèderait une propriété anticancéreuse. (7) Il faut toutefois encore plus d’études sur l’homme pour confirmer cette propriété anticancéreuse. Les essais cliniques conduits sur des animaux de laboratoires et des cellules en culture ne nous permettent pas de conclure sur l’efficacité de ces extraits contre les cancers.

Des bienfaits contre la maladie d’Alzheimer ?

Le curcuma prévient la perte des fonctions cognitives, en cas de maladie d'Alzheimer
Le curcuma préviendrait la perte des fonctions cognitives en cas de maladie d’Alzheimer

La médecine traditionnelle reconnaît les bienfaits du curcuma contre les troubles du système nerveux. Les scientifiques ont tenté de vérifier si cette plante médicinale aux multiples bienfaits pouvait réellement avoir des effets sur les maladies dégénératives du cerveau. Notamment sur la maladie d’Alzheimer, qui se manifeste par une perte progressive et irréversible des neurones et des fonctions mentales.

Dans cet essai clinique, des gélules de curcuma ont été administrées à des patients souffrant de maladie d’Alzheimer de stade avancé souffrant de symptômes tels que l’anxiété, l’irritabilité, l’agitation, les troubles de l’humeur et la confusion. Après 12 semaines de traitement avec cette médication naturelle, il a été constaté une amélioration des fonctions cognitives des patients. On a ensuite prolongé la durée du traitement sur plus d’un an et la manifestation des symptômes a diminué significativement. Le curcuma serait alors capable de limiter la perte de la fonction cognitive et de protéger les neurones, en cas de maladie d’Alzheimer (8). Cette seule observation clinique ne suffit pas malheureusement pour valider cet effet contre la maladie d’Alzheimer. Des études de plus grande envergure demeurent essentielles avant de pouvoir le confirmer.

Ses autres propriétés médicinales ?

Le curcuma stimule l'appétit
Le curcuma stimulerait l’appétit

Le curcuma longa en poudre possède d’autres propriétés médicinales reconnues par les scientifiques, l’Organisation mondiale de la santé et la Commission E. En effet, il serait notamment efficace en cas de troubles digestifs tels que la diarrhée, les maux d’estomac, ou encore la perte d’appétit. Dans cette expérience, on a administré 250 mg de cette plante médicinale en poudre, à raison de 4 fois par jour entre les repas. Cette médication a contribué à la guérison des patients souffrant de problèmes digestifs, de dyspepsie et de maladie inflammatoire de l’intestin. (9)

Différentes publications ont aussi rapporté l’action préventive du curcuma contre l’hyperglycémie et le diabète de type 2. Lors d’une expérience, des extraits de cette plante en gélules (avec un pourcentage élevé en curcuminoïdes : 75 à 85 %) ont été administrés à des sujets soumis à des régimes alimentaires enrichis en sucre et en gras. La prise d’une dose de 750 mg pendant 9 mois a permis de prévenir le diabète. Seuls les individus du groupe témoin, qui n’ont ingéré que des placebos, ont développé ce problème de santé. Les patients soumis au curcuma ont, par ailleurs, vu leur poids diminuer (10). Ces propriétés médicinales sont intéressantes, mais il nous faut d’autres preuves scientifiques pour les confirmer.

Bien choisir son curcuma bio en gélules

Comment consommer le curcuma ?

Le curcuma longa bio existe sous différentes formes galéniques sur le marché de la phytothérapie. On retrouve par ailleurs, les variantes en poudre, les extraits fluides, les huiles essentielles et les compléments en gélules ou capsules (plus faciles à utiliser). Pour choisir un produit de qualité, est préférable cependant de ne pas se précipiter et de bien se renseigner avant l’achat. En effet, il faut savoir que le curcuma bio en poudre ne présente pas la même efficacité que les extraits en gélules, bien qu’il soit bio. Ces derniers sont plus concentrés, et plus leur ratio d’extraction est élevé, plus leur action sur la santé est appréciable.

Pour éviter tout problème lié à la consommation de ce remède naturel, n’hésitez pas à demander conseil à un spécialiste en la matière ou à un médecin. Respectez uniquement les dosages conseillés par votre médecin traitant. Par ailleurs, n’envisagez pas de prendre des compléments alimentaires sans la supervision de ce professionnel de santé.

Pour en savoir plus vous pouvez consulter notre guide d’achat sur le curcuma bio.

dossier santescience

Pour choisir la meilleure curcumine, lisez notre article sur les différentes formules de curcumine.

Curcuma longa : Posologie

Précautions d’emploi

Les extraits se consomment à différentes doses, allant de 150 à 400 mg par jour, selon leurs teneurs en principes actifs.

Pour ceux qui optent pour les suppléments en poudre, on conseille en général de prendre 1,5 à 3 g par jour (soit une demi-cuillerée à une cuillerée à thé), pour obtenir les mêmes bienfaits que ceux apportés par des extraits de 60 à 200 mg en gélules. Il est possible de mélanger la poudre avec d’autres aliments, ou bien de l’ajouter à de l’eau pour en faire une tisane.

On déconseille la prise de cette médication naturelle aux patients ayant des problèmes d’obstruction et de calculs biliaires, ainsi qu’aux sujets allergiques à cette épice. Veillez à demander l’avis d’un professionnel de santé avant d’entamer le traitement.

Références

(1) P.N Ravindran, K. et al. «Curcuma: Le genre curcuma». CRC Press 2007.

(2) Dong-Il S. et al. «La bisacurone inhibe l’adhésion des monocytes inflammatoires ou des cellules cancéreuses aux cekks endothéliaux par la régulation à la baisse de l’expression de VCAM-1». Int Immunopharmacology vol.8 et 9, 2008.

(3) Erhard Fernholz HB. et al. «Isolement d’un nouveau phytostérol: le campestérol». Journal de l’American Chemical Society, vol. 63, n ° 4, 1941, p. 1155-1156.

(4) Pharmacopée Caribéenne, Tramil. Ed Emile Désormaux, 1996.

(5) Sang-Wook K. et al. «L’efficacité de la poudre de curcuma fermenté chez les sujets présentant des taux élevés d’alanine transaminase: une étude contrôlée randomisée». BMC Complementary and Alternative Medicine, le journal officiel de la Société internationale pour la recherche en médecine complémentaire. 2013.

(6) Suzy M. Salama et al. «Effet hépatoprotecteur de l’extratv éthanolique de Curcuma longa sur la cirrhose du foie induite par le thioacétamide chez le rat». BMC-ISCMR, 2013 (13): 56.

(7) Kuttan R et al. «Activité anticancéreuse potentielle du curcuma (Curcuma longa)». Lettre sur le cancer, 1985 novembre, 29 (2): 197-202.

(8) Hishikawa N et al. «Effets du curcuma sur la maladie d’Alzheimer avec symptômes comportementaux et psychologiques de la démence». Ayu, 2012 oct; 33 (4): 499-504.

(9) Thamlikitkul V. et al. «Etude en double aveugle Ranomisée de Curcuma domestica val. pour la dyspepsie ». J. Med Assoc Thai 1989 nov; 72 (11): 613-620.

(10) Chuengsamarn S. et al. «Extrait de curcuma pour la prévention du diabète de type 2». Diabetes Care 2012; 35 (11): 2121-2127.

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